Ces hadiths portent sur le raid du village juif Khaibar dont le chef était Kinana qui avait une superbe épouse de 17 ans, Safiya. Le Prophète a torturé et décapité Kinana en présence de Safiya, et il l’a ensuite violée toute la nuit ».
- Sahih Bukhari, volume 5, livre 59, numéro 512 : Anas raconte : Ensuite, les habitants de Khaibar sortirent en courant sur les routes. Le Prophète a fait tuer les hommes et les enfants et prendre les femmes comme captives. Safiya était parmi les captives. Elle a d’abord fait partie de la part de butin de Dahya Alkali mais plus tard, elle a appartenu au Prophète (le prophète l’a emmenée loin de Dahya après lui avoir donné deux femmes et cinq hommes en échange de Safiya. (Réf. Sahih Muslim 8:3328 ).
- Sirat e Rasulullah, Ibn Hisham, page 766 : « Safiya a été capturée dans le raid de Khaibar et a été revendiquée par l’apôtre comme sa part de butin. Elle était alors âge de dix-sept ans. Elle a été soignée pour être mise en service du Prophète par Umm Sulaim, la mère d’Anas ibn Malik. Ils ont passé la nuit sur place. À l’aube, le Prophète soupçonnait certains mouvements proches de la tente. Il sortit pour se renseigner et a vu Abu Ayyub. Il lui a demandé ce qu’il faisait près de sa tente. Il a répondu : Je craignais pour vous avec cette jeune femme. Vous avez tué son père, son mari et plusieurs de ses proches et jusqu’à récemment, elle était une incroyante. J’avais vraiment peur pour vous à cause d’elle, et je veillais sur vous ». Le Prophète a prié pour Abu Ayyub Al-Ansari (Ibn Hisham, p. 766).
La description de la nuit agitée entre le Prophète de 62 ans et l’adolescente Safiya a rendu la femme musulmane au niqab très déprimée et l’auditoire masculin très excité. L’imam lui-même est devenu excité et a commencé à penser à la possibilité de tuer un infidèle et de violer sa femme, sachant qu’Allah pourrait le récompenser par le Paradis pour avoir suivi les traces de son apôtre bien-aimé.
Après mûre réflexion, l’imam Abdul comprit que tuer était trop risqué en Angleterre. Il pourrait se retrouver derrière les barreaux pour la vie. Le viol est souhaitable, moins risqué et plus amusant. Les membres de sa congrégation musulmane pourraient l’aider dans ce devoir islamique en fournissant comme alibi qu’il prêchait dans la mosquée au moment du viol (dans le cas où il serait appréhendé). Il a discuté avec eux au sujet de cette faveur. Sept d’entre eux ont accepté de témoigner pour lui pourvu que l’imam fasse de même pour eux s’ils étaient eux-mêmes arrêtés pour leur viols au nom du djihad.
Depuis un bon moment déjà, l’imam convoitait une belle infidèle qui vivait seule dans le quartier. Une nuit il est entré dans son appartement, il s’est s’emparé d’elle sous la menace d’un couteau et l’a brutalement violée. Pour compléter la suna, il a pris son ordinateur portable coûteux comme butin halal (verset 8.1).
La femme avait vu cet imam barbu à l’apparence bizarre et au ventre proéminent allant et venant à la mosquée du quartier. Elle l’a signalé à la police et l’imam a été arrêté. Comme promis les sept namazis ont témoigné pour lui et fourni l’alibi que l’imam prêchait au moment du viol.
Mais hélas ! Les test d’ADN ont contredit leur témoignage. Lui et ses sept amis ont tous été condamnés à des peines de prison.
Leurs épouses en burqa présentes au tribunal ne pouvaient pas croire ce déni de justice. Elles ont crié à l’abus par le juge pour avoir puni leurs maris qui pratiquaient leur religion. Elles ont demandé pourquoi un acte approuvé par le coran et pratiqué par le saint prophète était-il passible d’une peine dans un pays qui revendique la liberté de religion ?
C’était clairement une discrimination à l’encontre des musulmans et certainement de l’islamophobie. Maintenant, elles ont compris combien il est important pour les musulmans d’importer la charia en Angleterre comme suggéré par le savant archevêque.
Mais l’imam Abdul n’avait aucun regret. Pour la première fois de sa vie, il avait eu une femme blanche et en plus, il a acquis beaucoup de récompense pour avoir suivi les traces de son bien-aimé prophète.
Les vrais perdants sont les pieux namazis qui n’ont profité ni d’une kafira (infidèle) ni gagné une quelconque récompense (vertu), mais fini dans la maison des singes (khaya peeya kuch nahin, glass tora, barana).
Morale de l’histoire : Les musulmans devraient commettre des viols uniquement dans des pays régis par la charia, où c’est sans risque. La charia exige quatre témoins masculins pour prouver un viol.
(Avis aux lecteurs. Ce texte est une parodie. Un dialogue fictif dans une mosquée a été imaginé par l’auteur. Ce texte reflète ce qui aurait fort bien pu se passer avant le viol. Par contre, le viol a bel et bien été commis par un prédicateur qui a été condamné à la prison. Ses complices ont été condamnés pour entrave à la justice pour avoir fourni un faux alibi).
Cette histoire a été rapportée dans le journal britannique The Sun, le 18 mars 2008.